Sphere.Of.Fear

~~ Promise Me, You'll Wait For Me ~~

Jeudi 27 octobre 2011 à 22:30

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Que j'aime a promener mes pupilles humectées, sur ces deux innocents, qui vivent juste pour s'aimer..

Le miroir de ma vie constituent un oubli, un méandre d'amour traitre, corps et âme de paraitre. Mais qui êtes vous, ambassadeurs ambarassants, délices inconvenants de mes crimes les plus fous? Oseriez vous a ce jour, alléger mon coeur sourd, jugerai vous la folie d'aimer follement la vie?

Siégerons nous a ce jour dans ces corps brulants, ravivant nos désirs, impromptus décadents?

En ce jour je ne suis que mal-être, désireux de toujours, n'obtenant que peut-être. Je veux vivre dans ces livres, ces romances eternelles, qui rendent l'âme si ivre, qu'elle se sort du charnel..

Sentiments de floriade, rêves glacés et malades, retenez mes ardeurs et calmez ma douleur. Je ne suis rien devant vous, qu'un fidèle retour, des malheureux jours qui se jettent à mon cou.

Les soupirs sont mes armes, a mon bras des colères, a mes yeux glissent mes larmes, mais ma bouche sait se taire.


Douceur de mes peurs, friandise de mes moeurs, je laisse ainsi sous ma langue, fondre un amour qui tangue.

Ils s'aiment.

Jeudi 27 octobre 2011 à 21:33

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A l'interieur, le feu crépite...

Le lit est froid, j'embrasse tes doigts,  mais tes yeux me regardent meurtris... Ce sont des bouquets d'iris qui se fanent dans ton être digital. J'avoue t'avoir pleuré mon amie, j'avoue t'avoir osé dans mes troubles nuits, accrocher ton visage sur les murs de ma vie, peint de ton nom mes plus belles folies.

Le temps est monarque, je serai ton Charon, unis dans cette barque,croquant les horizons.
Mon sang est pale,  et ma bouche se meurt, devant ces râles qui murmurent tes heures...

In Memoriam... Deux mots infâmes, qu'allument ta mort et enveniment mon corps. Je tremble tu sais, devant ce monde qui me blesse, je suis glacé, devant l'amour qui s'affaisse.

Adieu mon Amie, sur cette nappe garnie, marbré est le bois, colorant ton trépas.

Enflammant de mes charmes, ton repos bien trop calme, tu saura me veiller, je saurai te garder.


Que le gout de mes larmes soient ta gloire éternelle, que mon corps charnel, soit le coffre de ton âme.

Dimanche 23 octobre 2011 à 18:06

http://sphere.of.fear.cowblog.fr/images/jeuechec.jpgCertains de tes doigts se reposent de mes âmes, et chacun de tes mots ravivent ce drame.

Arrachées de ta main, c'est un vif acéré, la lame de l'épée qui viendrait m'éventrer... Que le temps s'indiffère de nos rythmes de vie, que tu partes loin de moi naît une autre insomnie.. J'avoue mon Amour notre gout de l'instable, mais la force de nos liens s'arracherait quelques fables.

Ta chaleur corporelle, si trouble près de moi, fait règner l'absence et prend le mal pour Roi. Noir et blancs sont les pions, immortels et sanglants, amateurs d'attentions, indomptables serpents..

Les tours sont remparts, crééent un mur entre nous, qui présente son dard, telles les griffes d'un loup.
La cavalerie avance, désireuse de vengeance, voulant piétiner sec, notre amour intrinsèque...

A ce jeu de damiers, je n'en suis que le fou, a cette guerre insensée, je me jette a ton cou...


En trois mots, en trois fautes, le Roi se déplace
En aussi peu de mots, du fou il s'efface

Qu'il est beau de t'aimer, dans un coeur encore sain, qu'il est dur d'apprécier ton départ presque certain...

Le fou devient roi, et se carapate
Mais en trois mots s'illustre, un Echec et Mat.

                                                                                                      

Mercredi 3 août 2011 à 12:39

I think there will never be an explanation of the different mound in which they were in harmony, and I do not doubt the fact that they can not be separated, one without the other, as if the Earth lived without sun.


Their souls are embedded into each other, similar to a rock encrusted with marine coral.
One could certainly think they will throw stones, but in reality, they are flint, and as everyone knows, these stones give rise to sparks.
Then a fire starts, and similar to an oven, they think they are suffocated, dying, roasting.


We do
not throw flowers, but water to suppress a story that loved life.
She was drowned, this romance.
Frozen.

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Even
sharks do not hunt in these waters.
Too cold, and yet it is the fire that killed them.
Yeah, the cold burns.
As the cigarette I just take the last puff.

Time
to relive my past.
Time to relive my life.
Time to relive all.

Dimanche 15 mai 2011 à 23:02

http://sphere.of.fear.cowblog.fr/images/epines.jpgEt si la terre se déchaîne
Que les empires n'existaient plus
Et si ma vie était bohème
A vagabonder dans les rues


Fendant le ciel de son horizon
Parsemant l'air de mille épines
Vint l'Horloge de la Dérision
De quoi briser nos deux échines...

M'aimerai tu encore
Fragile et maladroit
M'aimerai tu plus fort
En un pantin de bois.


 Et Si les nuages désespéraient
D'avoir pour tableau qu'un mur d'avions
Et si ne naissaient que des "ratés!"
Sans pour autant d'explications

Et si la brume se dissipait
Dans un éclat de vague a l'ame
Et si de guerre à  liberté
Déposerions nous a terre les armes?

M'aimerai tu assez
Pour que vive l'amour
Ne m'aimera tu jamais,
Ou m'aimera tu toujours..

Et si soudain l'obscurité
se transformait en terre de feu
Que le néant devenait clarté
Avancerions nous toujours a deux?

Ma peur dans tes doutes
Nos rêves déjà trop secs
t'aimant quoi qu'il en coute
mais tout de même un échec.
M'aimerai tu pour moi
dans un silence d'or
M'aimerai tu encore
Meme si je te déçois

Et que résonnent les tambours de l'amertume
Que jaillissent alors des roseaux fanés
Que l'amour se meurt, et perd ses coutumes
Que je reste bohème, a vagabonder

Errer dans le noir, trouver son repère
Vivre dans l'espoir, dans un monde sans guerre
Faire de son histoire un livre rapiécé
Un moeur, une haine, que le temps a dévoré...

T'aimerai-je toujours
Si tu me consummes
Si tu éteins l'amour
Que mon coeur allume.

Que les étoiles se ferment
dans un souffle de peur
Que la folie s'empreigne
De la dernière des heures.




                                                                                                                                        Poème non complet.

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