Que j'aime a promener mes pupilles humectées, sur ces deux innocents, qui vivent juste pour s'aimer..
Le miroir de ma vie constituent un oubli, un méandre d'amour traitre, corps et âme de paraitre. Mais qui êtes vous, ambassadeurs ambarassants, délices inconvenants de mes crimes les plus fous? Oseriez vous a ce jour, alléger mon coeur sourd, jugerai vous la folie d'aimer follement la vie?
Siégerons nous a ce jour dans ces corps brulants, ravivant nos désirs, impromptus décadents?
En ce jour je ne suis que mal-être, désireux de toujours, n'obtenant que peut-être. Je veux vivre dans ces livres, ces romances eternelles, qui rendent l'âme si ivre, qu'elle se sort du charnel..
Sentiments de floriade, rêves glacés et malades, retenez mes ardeurs et calmez ma douleur. Je ne suis rien devant vous, qu'un fidèle retour, des malheureux jours qui se jettent à mon cou.
Les soupirs sont mes armes, a mon bras des colères, a mes yeux glissent mes larmes, mais ma bouche sait se taire.
Douceur de mes peurs, friandise de mes moeurs, je laisse ainsi sous ma langue, fondre un amour qui tangue.
Ils s'aiment.