Sphere.Of.Fear

~~ Promise Me, You'll Wait For Me ~~

Dimanche 21 octobre 2012 à 21:44


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 Il demeure aujourd'hui des paradis perdus,
Paysages enveloppés de drapeaux inconnus;
Des histoires de passage qu'on vient vous murmurer,
Des légendes où l'argent vient se désorienter.


Certaines se diront belles, car elles racontent le jour
Où les amants, de nuit, viennent sceller leur amour.
D'un seul geste, d'une seule larme, d'autres parleront d'absence,
De chagrins décalés sur  un Temps qui avance.


Malgré ça, je demeure, seul face à la folie.
Mon sommeil qui se lasse se nourrit de l'ennui.
Je voudrais découvrir ces rivages secrets,
Où l'on rêve de passions comme on parle de paix.

Mardi 16 octobre 2012 à 21:16



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Je t'ai croisé comme on s'est quittés autrefois,
D'une envolée furtive, d'un sanglot déversé.
La ville n'est que poussière quand je passe près de toi.
Dans les ruelles s'écrivent ce qu'on a partagé.


Quelque soit ton visage, quelque soit ton regard,
Ta couleur de cheveux, tes peurs et nos délires,
Tout tes rêves du matin, tes mots a mon égard,
Sont la même souffrance quand je te vois partir.


Et malgré tout ce qu'on s'est dit
Tout notre amour, nos interdits
Je ne peux pas oublier ça :
mon coeur est gravé dans tes pas.

J'aurai voulu vivre le jour
de peu de choses, de tant d'éclats
j'aurai voulu vivre l'amour
sans trahisons, rien qu'une seule fois.

Mardi 2 octobre 2012 à 15:12

 
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Le temps ne suffit pas, 
A faire de tout tes mots
Un coeur sans peine sans combats.


Sans savoir ou je vais
D''un espoir condamné
Je n'entends que le ciel pleurer.


J'ai l'impression de tout voir s'évader
De vivre le monde dans un sens inversé
De tomber, sans relâche,
Sans un rien, sans attache,
Déboussolé.


Jamais je n'aurai cru pouvoir aimé autant
L'absence a remplacé nos sentiments...
J'avais cru dessiner sur tes lèvres d'argent
Un amour éternel, nos rêves d'enfants;
Mais tu as choisi de vivre autrement...

Mardi 4 septembre 2012 à 10:59



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 Les notes se colorent de sa vie abandonnée.

Quelques larmes ajoutées, un passé retracé.

Elle revoit ses poèmes, et lui à ses côtés

Trois mots qu’ils échangeaient pour sceller leur baiser.

 

Sa main sur ses épaules fait chavirer son cœur

Elle parle de leur histoire comme on parle du bonheur.

Elle s’imaginait fée pour entrer dans la danse

De l’éternel amour qu’on rencontre en enfance.

 

Ils se sont regardés, se sont donné une chance

Traversant des déserts plus grands que la distance.

Et il lui tend la main quand elle offre ses peurs

Dessinant des soleils aux plus noires de ses heures.

 

Jamais elle n’aurait cru être heureuse de vieillir

Mais tout ce temps ensemble lui redonne le sourire.

Et quand il se réveille bien plus tard que l’aurore

Il rêve de son parfum, le désirant encore.

 

Le temps a pris toutes ses envies, tout ce qu’elle aime

 Transformé l’homme qu’elle aimait en poussière d’Eden.

Assise là, elle rêve de lui contre sa peau

 Ecoutant le paradis d’un air de piano.

 

Dimanche 5 août 2012 à 12:44


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 Les jours vacillent, les lumières s’éteignent lentement.

Dans mes pupilles, le froid a remplacé l’argent.

A la dérive, bercé par des nuages blancs…

 

J’ai trente ans, mais j’ai appris que vivre

N’était pas digne du temps,

Qui nous pousse lentement

A lire un dernier livre.

 

J’avais un rêve, celui d’avoir le sentiment

Quand je me lève, de pouvoir marcher comme avant.

Mais il s’achève, jamais plus je ne serai grand.

 

Je me revois, seul face au désespoir

De n’avoir pu un soir

Imiter tous ces gens

Qui s’aiment éperdument.

 

Ca y est ! L’amour m’a désigné

Je suis fou, j’ai quinze ans

J’ai peur de m’réveiller

Il fallait bien pourtant.

 

Enfant, on croit au paradis

Quand on atteint seize ans

On pense rire de nos vies

Qui nous croquent à pleine dents.
 

Putain ! J’en ai marre de ce lit,

J’y suis depuis longtemps.

C’est le temps qui m’a pris

Mes jambes dans l’accident.

 

Demain, il n’restera de moi

Qu’une seule et même chose

Je n’ai plus vraiment l’choix

J’veux voir la vie en rose.

 

Ma chérie, c’est moi qui te le dis

Devant la maladie

Celle qui t’as emporté

Que demain sera parfait.

                                                                                                                                                                   *A vous deux.*

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