Sphere.Of.Fear
~~ Promise Me, You'll Wait For Me ~~
Lundi 6 février 2012 à 20:00
Dans son monde elle n'écoute qu'un silence sanglant
et l'écho de ses larmes sur le plancher.
Regrets au bord des yeux, coulant au fil du temps
sur des pages qu'on se dit envolées.
Dans ses mains un espoir, que la nuit de demain
Sur sa peau des mémoires vienne graver
A travers tous ses rêves, ses refuges sans matin
elle ne peut s'empêcher de pleurer.
et l'écho de ses larmes sur le plancher.
Regrets au bord des yeux, coulant au fil du temps
sur des pages qu'on se dit envolées.
Dans ses mains un espoir, que la nuit de demain
Sur sa peau des mémoires vienne graver
A travers tous ses rêves, ses refuges sans matin
elle ne peut s'empêcher de pleurer.
Mardi 24 janvier 2012 à 23:20
Ils sont venus, peine à la main
Chanter l’amour, d’un vent chagrin
Hisser les voiles…
C’était l’hiver et le printemps
L’innocence même de deux enfants
Aux yeux d’étoiles...
Il a dessiné sur sa peau
Des je t’aime a demi-mot
Et des promesses
Elle, de ses lèvres venait poser
La chaleur d’une vie retrouvée
Sans qu’elle se blesse.
Ce n'était que des voyageurs
voguant sur les rives du bonheur
D'un geste frêle
Et dans leurs yeux, un air d'antan
Tissait d'un feu incandescent
leur arc-en-ciel.
Jeudi 12 janvier 2012 à 21:48
Si les mots sont usés, quand tu décris mes lettres
Si l'impatience t'enivre de les voir disparaître
Si le gout de l'amour se délie de tes yeux
Que tu jures pour toujours, m'effacer peu à peu.
Si tes jours se révèlent, quand vient l'heure de mes nuits
Dans mes bras qui te cherchent, tu caresses l'ennui
Si ta bouche se promène, sur des lèvres inventées
murmurant des poèmes à travers tes baisers...
Je rêverai ton bonheur, à travers mes sanglots
Dessinant ton visage, sur les lignes de ma peau
Je serai ton voyage vers celui qu'il te faut
Je promet un départ digne d'un amour d'antan
j'ai tant besoin de toi, pourtant...
J'irai te voir danser, la main sur son épaule
je suivrai son regard, et mon coeur qui s'isole
Si l'éclat de tes yeux est l'opale de ma vie
Je ne suis que pour toi une pierre polie
Je te promets l'oubli de nos actes manqués
Je te promets les anges, et les contes de fée
Des matins enchantés, venant te réveiller
Je te promets mes bras, pour te protéger
Je te promets le soir, un piano qui se meurt
De blanches tout comme de noires, et racontant nos heures
Je te jouerai mon âme, j'écrirais tes promesses
Des morceaux de musique, des paroles de détresse
Je ne veux pas que tu me laisses...
Si l'impatience t'enivre de les voir disparaître
Si le gout de l'amour se délie de tes yeux
Que tu jures pour toujours, m'effacer peu à peu.
Si tes jours se révèlent, quand vient l'heure de mes nuits
Dans mes bras qui te cherchent, tu caresses l'ennui
Si ta bouche se promène, sur des lèvres inventées
murmurant des poèmes à travers tes baisers...
Je rêverai ton bonheur, à travers mes sanglots
Dessinant ton visage, sur les lignes de ma peau
Je serai ton voyage vers celui qu'il te faut
Je promet un départ digne d'un amour d'antan
j'ai tant besoin de toi, pourtant...
J'irai te voir danser, la main sur son épaule
je suivrai son regard, et mon coeur qui s'isole
Si l'éclat de tes yeux est l'opale de ma vie
Je ne suis que pour toi une pierre polie
Je te promets l'oubli de nos actes manqués
Je te promets les anges, et les contes de fée
Des matins enchantés, venant te réveiller
Je te promets mes bras, pour te protéger
Je te promets le soir, un piano qui se meurt
De blanches tout comme de noires, et racontant nos heures
Je te jouerai mon âme, j'écrirais tes promesses
Des morceaux de musique, des paroles de détresse
Je ne veux pas que tu me laisses...
Dimanche 1er janvier 2012 à 16:05
Des mots qu'on se dessinent, des messages murmurés, dans l'encre de tous nos rêves
Les pages blanches d'une vie, de l'union d'un baiser, se racontent et s'achèvent.
Et L'onde de tes larmes, caressées par la plume, d'une histoire qui s'envole
Déployant là ses ailes, rongées par l'amertume, me sourit me console.
Les jours dit d'harmonie, je ne les ressens plus, ou seraient-ils cachés?
Envolés par magie, amoureux disparus, qu'on jette dans un grenier.
Jeudi 29 décembre 2011 à 22:56
Il y a de ces jours, où l'on se regarde tomber, sans présence d'un obstacle...
Il y a de ces peines, qu'on se vole a toute heure, croyant voir des miracles.
On s'engouffre lentement, sur des voies effacées, par le temps criminel
S'abandonne dans l'élan, d'un souvenir blessé, qu'on ramasse à la pelle...
Il existe de ces nuits, où l'on se voit pleurer, sans présence d'un miroir
Caressant l'insomnie, voulant l'apprivoiser, l'aimer le coup d' un soir.
Maladie doucereuse, que sont là les baisers, d'une ancienne promise
Et viennent fleurir alors, les bourgeons déception, d'une si belle hantise...
Il me reste de nous, que l'écho de tes levres sur mes larmes déposées
Lorsque le crépuscule, d'une main d'un seul geste, nous a fait nous aimer.
Et je fane tes mots, a travers l'écriture, sur des feuilles parfumées
De l'encre de nos péchés, qui deviennent ratures, et souligne ta beauté.